vendredi 14 juin 2013

La Chine et les accordéons dorés


Dans la rhumba congolaise, c'est le guitariste que l'on met en avant, dans la cumbia, c'est l'accordéon, ainsi sur ce disque d'Alfredo Gutierrez, l'homme aux accordéons dorés, avec Nacho Paredes au chant. On est en 1976 sur le célèbre label Fuentes, les percussions viennent d'Afrique via Cuba et la basse groove super funky, mais c'est bien le piano à bretelles endiablé d'Alfredo Gutierrez qui mène la danse. Il nous emmène en visite dans une Chine de fantaisie et de dissonances jubilatoires, où l'on se quitte sur un "sayonara" garanti nippon d'origine. Cumbia China!



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